play_arrow

keyboard_arrow_right

Listeners:

Top listeners:

skip_previous play_arrow skip_next
00:00 00:00
playlist_play chevron_left
chevron_left
  • cover play_arrow

    Streaming Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 921 La Filière Progressive 921 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 920 La Filière Progressive 920 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 919 La Filière Progressive 919 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 918 La Filière Progressive 918 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 917 La Filière Progressive 917 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 916 La Filière Progressive 916 - Radio Pulsar

play_arrow

La Filière Progressive

La Filière Progressive 898

micLa Filière Progressive 898 - Radio Pulsartoday8 décembre 2022 39 3

Arrière-plan
The Bardic Depths - Promises of Hope
  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 898 La Filière Progressive 898 - Radio Pulsar


PLAYLIST:

1.Banco Del Mutuo Soccorso – La maldicenza – Cadere O volare – Moon suite – (Orlado: le forme dell’amore)
2.The Bardic Depths – And she appeared – The burning flame – Imagine – (Promises of Hope)
3.Steve Hackett – Supper’s ready – (Genesis revisited live : Seconds out and more)
4.Philosophobia – Thorn in your pride – Betwin the pines – Within my open eyes – (Philosophobia)

The Bardic Depths:

The Bardic Depths revient avec un nouveau line up pour ce second album « Promises Of Hope », la principale innovation étant la présence comme membre à part entière de Peter Jones, Robin Armstrong coproduisant le disque et intervenant comme musicien additionnel.

Le synopsis de l’album a été écrit par le professeur d’histoire américain Brad Birzer cofondateur de The Bardic Depths (et co-compositeur de la majorité des morceaux), il décrit les affres du suicide et leur possible rédemption. Neuf titres pour un peu plus d’une heure de musique sont au menu. Précisons en outre que ce « Promises of Hope » est dédié à la mémoire de David Longdon accidentellement et trop tôt disparu.

Notre repas commence avec « And She Appeared », l’une des pièces les plus énergiques de l’album à mi-chemin entre le progressif et le pop prog, une pièce entrainante qui donne envie d’esquisser quelques pas de danse, fréquentable sans pour autant crier au génie. « Regal Pride » suit cette mise en bouche facile d’écoute, un très cool « down » tempo popisant également avec un joli motif saxisé mais un poil trop répétitif puis le long « Consumed » et ses presque huit minutes à connotation celtique (le Penny Whistle de Peter Jones n’y étant pas étranger) , du rock mélodique plus que du rock progressif, un terme par ailleurs revendiqué par Dave Bandana lui-même, l’une de mes pièces favorites de l’album.

« The Burning Flame », une plage un rien mystérieuse dans son entame, peu et superbement chantée (Peter Jones évidemment), portée par les guitares soli de Kevin McCormick d’abord puis de Gareth Cole ensuite, la beauté première en musique elle est là. Des couleurs et des formes pleines, du saxophone comme s’il en pleuvait, seul Peter Jones est capable d’une telle performance à l’instrument, une plage instrumentale haut de gamme et somme toute aventureuse. « Why Are You Here ? » qui suit, saxo toujours en préambule mais avec du chant, une pièce un peu mollassonne, heureusement rehaussée par le travail des six cordes au mitan, correcte sans plus.

Les deux plus courts titres de l’album à présent avec tout d’abord « Returned » à tendance orientalisante, plus pop que prog, intéressant sans être un sommet non plus, à noter le drumming métronomique impulsé par Tim Gehrt, batteur du groupe Streets (Steve Walsh) à l’orée des années quatre-vingt, puis « The Essence » qui lui est franchement inspiré de la même période avec une saveur a Flock Of Seagulls pour les irréductibles qui connaissent (la guitare comme la paire rythmique et même les intonations vocales qui pourraient provenir du gosier de Mike Score !).

Le clap de fin avec « Imagine », le plus long titre du disque, pas loin des dix minutes, introduit à l’orgue d’église par Richard Kreuger avant l’apparition du mellotron en nappes puissantes (Paolo Limoli) couplé avec le piano du même homme et la guitare lyrique de Gareth Cole, nous n’oublierons pas le saxophone (encore et toujours)enjoué de Peter qui envoie cette pièce totalement progressive dans une autre dimension, bien chantée par Dave Bandana et Peter Jones et qui se clôt comme elle avait débuté par une courte partition d’orgue d’église.

Fin de La Filière Progressive 898

Plus de balados La Filière Progressive

 


La Filière Progressive

Rate it
0%