play_arrow

keyboard_arrow_right

Listeners:

Top listeners:

skip_previous play_arrow skip_next
00:00 00:00
playlist_play chevron_left
chevron_left
  • cover play_arrow

    Streaming Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 921 La Filière Progressive 921 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 920 La Filière Progressive 920 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 919 La Filière Progressive 919 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 918 La Filière Progressive 918 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 917 La Filière Progressive 917 - Radio Pulsar

  • cover play_arrow

    La Filière Progressive 916 La Filière Progressive 916 - Radio Pulsar

Articles

Thomas Fersen, un chanteur bien dans ses pompes

today18 octobre 2013 6

Arrière-plan
Thomas Fersen

Neuvième album en vingt ans, et il fait encore l’enfant. Avec ‘Thomas Fersen and the Ginger accident’, du nom du groupe qui l’accompagne, l’auteur-compositeur-interprète nous régale une nouvelle fois de sa nonchalance, de son ironie, de son humour. Thomas Fersen est en pleine forme, gai comme un pinson. La preuve avec le morceau qui ouvre l’album sur les chapeaux de roue, Donne-moi un petit baiser, un baiser pour lequel toutes les suggestions sont permises (l’artiste pourtant, pardon Mesdames, s’adresse à l’origine à son jeune enfant), ou encore avec Mes compétences, irrésistible argumentaire d’un glandeur professionnel se présentant à l’entretien d’embauche, litanie de connaissances inutiles de celui qui au moins laisse éclater toute sa motivation.

De bout en bout, Thomas Fersen nous offre de sa voix toujours à la fois légère et rocailleuse divers tableaux au charme suranné, causant d’un curé baigneur, de chaussures en cuir d’anguille, de boxe à l’anglo-saxonne, de pingouins des îles.

Des textes portés par une musique diablement rétro, sacrément sixties, à écouter le «petit baiser» de Thomas Fersen, on pense immanquablement à un fameux chien estampillé 1965 chanté par Nino Ferrer. Avec l’orchestre de The Ginger Accident, Thomas Fersen apporte à nouveau un salutaire coup de frais sur la chanson française qui ne renie pas ses origines.

Bon, en attendant un passage à Landivisiau le 30 novembre, Thomas Fersen monte sur scène dès le 11 octobre, pour passer par le Casino de Paris le 26 novembre.

Écrit par: radio_pulsar

Rate it
0%